Duplex d’architecte avec jardin

Amoureux de design et de balades en bord de mer, ce bien est fait pour vous ! Entièrement rénové par une célèbre architecte d’intérieur, découvrez ce superbe rez-de-jardin contemporain en duplex avec toit-terrasse, qui se vit comme une véritable maison.

À deux pas de la mer et des commerces de la Pointe Rouge vous empruntez un passage typiquement marseillais et poussez une grande porte ouvrant directement sur le jardin. Les odeurs de figues et de romarin vous envahissent. Un beau chemin en « calade*» file le long de la maison et vous dirige vers l’entrée.

Sur la droite la cuisine dont vous rêviez.  Un magnifique plan de travail en béton poli court sous de larges fenêtres, vous laissant ainsi entrevoir le jardin tout en cuisinant.
Vers le salon les fenêtres panoramiques en bois massif se succèdent. Elles inondent de lumière les espaces que les stores viennent tamiser, répliques de celles de la Cité Radieuse**.
Depuis le salon on accède à un petit bureau/bibliothèque très cosy, vestige de l’ancienne maison du XIXe siècle avant les travaux d’extension.

En face derrière un grand rideau, un long couloir distribue les deux premières chambres qui disposent chacune d’une fenêtre donnant sur le jardin. Les détails sont soignés, des plinthes à l’effet marbré réalisées sur place par un artisan d’art, jusqu’aux poignées des portes qui proviennent d’un immeuble où résidait Andrée Putman.
Au bout du couloir, une étonnante porte donne l’impression d’être dans un paquebot mais son origine est tout autre. Elle provient d’une résidence de la station des Arcs et a été dessinée par Charlotte Perriand***.  Derrière elle se cache une salle d’eau en mosaïques blanches au style minimaliste et fonctionnel.

Sur la gauche, vous empruntez le superbe escalier qui mène à la suite parentale. C’est une œuvre d’art à part entière. Imaginé spécifiquement pour ce lieu, cet escalier à voûte sarrasine enchante chaque visiteur par la pureté de ses courbes et la douceur de son béton naturel.

À l’étage aussi la part belle est faite aux matériaux bruts. Béton ciré au sol, panneaux de fibre dense cirés pour les dressings sur mesure, et grands carreaux de terre cuite aux murs. La couleur brique des carreaux et leur aspérité réchauffent la pièce et lui confèrent tout son caractère. De grandes fenêtres coté jardin apportent de la lumière et permettent de saluer le massif des calanques au réveil.
La grande salle de bain parentale est elle aussi une ode à la détente et à la contemplation… Oui, c’est bien le bleu profond de la Méditerranée que vous apercevez devant vous, et le blanc étincelant des îles du Frioul au loin.

Depuis la chambre, un escalier blanc en métal vous ramène à nouveau dans l’univers du paquebot de croisière. Il mène au pont supérieur : un rooftop de 37m² idéal pour admirer la mer et bronzer à l’abri du mistral et des regards.
Le jardin d’environ 130m² dispose d’une belle terrasse abritée et d’une cuisine d’été. Un cabanon de 6m² à l’entrée vous permet de ranger les affaires de plage, et une douche extérieure de vous rincer après la baignade… car oui, la mer n’est qu’à 150 mètres !

Un garage fermé situé tout proche est inclus dans la vente.

Un bien rare tant par le raffinement de sa rénovation que par sa localisation. Un lieu calme et singulier, qui vous permettra de vivre Marseille en toute sérénité. À visiter rapidement.

Classe énergétique : C.

Très faibles charges de copropriété (petite copro).

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* Tout aussi pratique qu’esthétique le pavement en « calade » est une technique ancestrale ici utilisée par l’architecte pour faire écho aux villages provençaux et revisitée d’une manière plus radicale. Les galets ont été choisis un par un dans la région spécifiquement pour ce lieu.

** La Cité Radieuse à Marseille, chef d’œuvre du Corbusier construit entre 1947 et 1952 au 280 bd Michelet 13008 a été une source d’inspiration pour l’architecte d’intérieur qui a rénové cette maison. Elle s’y rendait régulièrement étant enfant et a ainsi rendu hommage à cette construction avec des répliques des stores enrouleurs que l’on trouve là-bas.

*** Entre 1967 et 1989, Charlotte Perriand se consacre pleinement au projet de sa vie et imagine une station de ski résolument avant-gardiste et humaniste dans son approche. « Je prônais comme toujours l’intégration : architecture-équipement-environnement, mettant en valeur une volumétrie intérieure faite d’harmonie, en rapport avec le paysage de la montagne, toujours présente, superbe ». Cette porte en est le rare témoin, puisque la plupart des appartements des Arcs ont été complètement transformés.

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